Bolivie (2008)

De La Paz a Arequipa

La Paz….

Images de La Plaza Murillo ainsi que de la rue Linares située au marché des sorcières. Les photos de la ville sont prises depuis El Alto, le cartier pauvre situer sur l’altiplano.

Entre la ville et le lac Titicaca se trouvent les ruines de Tiwanaku, une des plus vielle ville du monde. La civilisation Tiwanaku avait une grande maitrise de la taille de la pierre et son architecture soignée préfigure celle des Incas.

Situe a 2300 mètres d’altitude, Arequipa est la deuxième ville du Pérou avec plus d’un million d’habitants. Construite au pied de deux géants, les volcans Misti et Chachani ( 5800 et 6010 mètres), la ville fut dévastée à plusieurs reprises par les éruptions volcaniques et les séismes.

Huayna Potosi.

De retour a La Paz nous avons pu observer que le temps n’était pas au mieux sur la cordillère. Mais nous ne pouvions plus repousser l’ascension faute de temps ( il nous reste le Pérou à traverser et le retour approche). Nous sommes donc retournés au refuge tenu par Yolanda à 4800m pour se réacclimater. Comme entrainement nous avons grimpés à 5200m sur un pic situé en face du Huayna Potosi. La haut, il y a une vue sur plusieurs lacs glaciaires et surtout sur la face que nous devons escalader le lendemain. Nous pouvons donc observer les passages difficiles, le petit mur a 5700 et surtout le mur final pour accéder au sommet, plus de 100 mètres de dénivelé a 70 pour cent d’inclinaison…après une autre nuit au refuge, Lucio notre guide nous rejoint et nous partons au refuge (5130 m) en longeant le glacier.

Il nous est impossible de trouver le sommeille à cause de l’altitude et de l’excitation. Lucio vient nous réveiller à 1h du matin. A peine le temps de boire un maté de coca et d’enfiler l’équipement que nous voila parties. Nous sommes une douzaine en tous à partir à l’assaut du sommet ce jour la. Parties les derniers, Lucio à l’air d’avoir envie que l’on arrive les premiers. Entre le départ et le premier mur à 5700 m nous rattrapons donc trois cordées sur un rythme soutenu que nous suivons sans trop de difficultés. Là, les choses se corse, il faut escalader la paroi sur 50m et passer la crevasse, ce qui emplie notre guide de joie…

Après le mur nous passons sur un autre versant celui ci battu par les vents. Le froid glacial se fait alors sentir, il fait -10 et le thermomètre descend très vite. La respiration devient compliquée et le nombre de pose augmente, maintenant nous nous arrêtons toutes les deux minutes pour essayer de reprendre notre souffle. Le froid empire et il se met à neigé, la fatigue augmente , chaque pas devient de plus en plus dur et le manque d’air commence à avoir des conséquences sur l’état d’esprit, à ce moment la, on se dit juste que l’on a « payer pour en chier » et on attends de pied ferme le soleil pour avoir moins froid.

Il est 5h du matin quand nous arrivons au pied de la dernière difficulté. Les premières lueur de l’aube apparaissent entre deux nuages mais il ne fait pas plus chaud. Les rafales de vent sont parfois violentes et le thermomètre indique -15. Notre guide nous demande si nous voulons aller au sommet, la réponse est évidente…C’est la parties la plus difficile, quasi à la vertical. Une pause de 30 secondes est nécessaire tous les trois ou quatre pas et la crampe pointe le bout de son nez. Cela devient interminable, encore plus quand le soleil apparait et nous montre tous se qu’il nous reste à monter.

Plus que 5 mètres, 4, 3, 2, puis 1… 6088 mètres nous y sommes je me jette sur le plat, rincer, heureux et la tête un peut confuse. Le temps de reprendre nos esprit et de prendre quelques photo ( et de se congeler la main par la même occasion) nous entamons la descente car il fait trop froid pour s’éterniser. Une victoire pour les Bretons Perdus!!!

Nous ne redescendons pas par la paroi mais par une crête étroite, le guide doit être derrière pour assurer en cas de chute. C’est donc à moi d’ouvrir la voie dans la poudreuse. Je trébuche mais je suis bien accroché à mon piolet, vue la pente, si un de la cordée glisse tous le monde par en bas!! Nous ne faisons pas les fières…Lucio nous organise un rappel pour descendre chose que d’autre guide ne font pas. Nous sommes alors bien content d’être avec lui. La suite de la descente se fait sans souci (bien que éprouvantes tout de même) et dans un décor somptueux.

De retour au refuge et après une cerveza bien meritée nous rentrons à La Paz. Merci Lucio, on le retrouvera surement lors d’une prochaine assencion, celle de l’Illimani (6440m) pour le prochain voyage….

3 jours dans la Pampa…

Nous sommes partis faire un petit tour dans la pampa pendant trois jours départ de Rurrenabaque, nous sommes 8 a faire ce tour dont 5 Français. Stéphane avec qui nous passâmes le nouvel an à Bariloche et qu’on a retrouvés à La Paz par hasard nous accompagne, un Anglais et deux Australiens aussi. Luis est notre guide et va s’averer très bon. (décidément y sont bien ces Luis)

1er Jour :

Départ de Rurrenabaque pour 4 heures de 4×4 (pas cool après 20 heures de bus sur la route de la mort) pour arriver dans un petit bled ou l’on nous propose de manger un bout. Pas de problèmes, enfin presque pas puisque dans le resto se trouvait un singe voleur de banane, un porque-pic, quelques chiens affamés, un oiseau d’un bon mètre cinquante et un perroquet enfin bref, un véritable Zoo et dans ce cas la, gare à ton assiette…

L’après midi, petit tour en pirogue pour découvrir toutes sortes d’oiseaux, quelques singes très sympathiques et notre campement ou nous attendait Pédro, un alligators de 2 mètres cinquante de long…

le soir, couché de soleil au bar s’il vous plait…

2ème Jour :

Nous sommes partis en véritable aventuriers dans la pampa à la recherche d’un ou plusieurs serpent avec comme but premier de rencontrer le fameux Anaconda. Cette recherche c’est transformée en une balade dans un marécage avec de l’eau au dessus des genoux, autant dire que les botes dans ces cas la ne servent à rien… Nous sommes alors transformés en casse croute pour moustiques et les serpents sont bien cachés. La seul chose qu’on a vu, un gros crapaud, merci Luis…

Pour se decrasser rien de tel que sauter dans la rivière avec une liane… Apres un bon repas direction les hamacs pour décompresser.

L’après midi nous allons à la découverte de nouvelles d’espèces de singes comme le cappuccino ou encore le paresseux.

3eme Jour :

Debout de bonne heure pour la peche au piranhas. Les bretons gagnent avec un poisson chacun… Suite de la journée, baignade avec les dauphins roses puis il faut une nouvelle fois plier bagages…

Rurrenabaque

La route pour Rurrenabaque était la plus dangereuse au monde et surnommée « la route de la mort ». Les récents aménagements font diminuer le nombre d’accidents sur la partie haute de la route entre La Paz et Coroico. Mais après Corocico ça se corse. La route devient une piste, les rambardes disparaissent et laissent place à des ravins. Des carcasses de bus en contrebas sont la pour nous rassurer, de plus, un bus de notre compagnie est tombé le mois dernier. Il faut savoir que lorsque deux véhicules se croisent, celui qui descend se met au bord du ravin pour laisser passer son compère. Lors de se croisement, une partie du chemin a commencé à s’effondrer sous le poids de notre bus. Pas vraiment rassuré…

Lors de la descente, le froid sec de l’altiplano laisse place à la chaleur humide de la jungle.

Rurrenabaque se trouve sur la rive du Beni, affluant de l’Amazone. La ville est à la limite entre la cordillère et les vastes plaines du bassin amazonien.

Pour nous rendre dans la Pampa inondée ou nous devons passer trois jours, encore 4h de chemins boueux avec une crevaison et un bourbier en prime.

Cordillere Royale.

Andres nous emmène à Tuni, son hameau familial, départ de notre trek. Avant de monter la vallée du Condoriri, nous mangeons au bord du lac de Tuni tout en regardant le Huayna au loin. Les sacs sont lourds et la montée de la vallée est difficile car à cette altitude, il y a deux fois moins d’air qu’au niveau de la mer. Nous campons à la Laguna Chiar Quta à 4700m au pied du Condoriri ( 5648 m). Difficile de trouver l’appétit et le sommeil a cette hauteur.

Au petit déjeuné il nous faut passer le col de Aguja Negra à 5016 m. Le départ du col très abrupte, nous oblige à faire une pose de trente secondes quasi tous les dix mètres!! En haut du col, le Huayna nous sourit au milieu de ses nuages.

Lors de la descente vers Tuni nous réalisons que le trajet menant au camp de base est trop long et que l’on risques d’être épuisé avant l’ascension. En effet c’est notre premier trek à cette altitude et nous comprenons alors tous l’intéret d’avoir des mules car les sacs sont de véritable fardeaux. Il nous faut donc trouver un transport. Après un essai infructueux auprès de mineurs à moto nous montons le camp. La nuit est froide, notre thermomètre indique -6 dans la tente…

Le lendemain, nous rencontrons Jaime, le frère d’Andres lui aussi guide de montagne. Avant de monter dans sa jeep, nous assistons à la découpe d’un lama par sa femme et son fils…âme sensible s’abstenir.

Forcement, le trajet et beaucoup plus facile en voiture bien que la route soit complètement défoncer et bordée de ravin qui donne le vertige.

Nous voila au camp de base à 4800m. Nous partons en reconnaissance vers le camp haut à 5200m. Sans les sacs c’est un vrai bonheur de monter et nous sommes bien acclimatés. Au départ dans les nuages, le ciel se découvre peut a peut laissant apparaitre le glacier, les vallées environnantes puis le sommet du Huayna Potosi. La nuit arrive, nous rentrons au refuge.

Un orage s’abat sur la montagne pendant la nuit, il y a tellement d’électricité dans l’air que mon duvet fait des étincelles!!! La neige tombe toute la nuit et cela n’est pas une bonne nouvelle. Le soleil se lève et il neige encore, un groupe qui avait tenté l’ascension la veille nous raconte qu’au milieu des éclaires et du blizzard, leur piolets faisaient des étincelles et éclairaient plus que leur lampes. Le temps ne s’arrange pas, nous devons donc reporter l’ascension mi avril…

Dimanche nous partons pour Rurenabaque en Amazonie, anaconda, pirogue et pêche au pirania au programme.

Quand il faut y aller…

Le Huayna Potosi, 6088 mètres au dessus du niveau de la mer.

Nous partons pour cinq jours de trek dans la cordillère Royal a cote de La Paz avec pour but l’ascension du Huayna Potosi. Nous partons de Tuni mercredi, trois jours de randonées d’acclimatations entre 4500 et 5300 mètres pour rejoindre le camp1 ou nous devons retrouver notre guide ainsi que le matériel pour marcher sur la glace. Samedi nous montons avec lui au camp de base a 5200. Dimanche vers une heure du matin nous partons au sommet que l’on devrais atteindre vers 8h. Il faudra donc attendre lundi pour avoir des signes de vie!!

Sucre.

Capital constitutionnel du pays, Sucre a vécue la déclaration d’indépendance en 1825. Pas de chance, c’est le weekend de pâque, tous les musées sont fermés. Il ne reste donc plus grand chose à faire dans la ville…Voici quelques photos de l’architecture colonial de Sucre et du marche. La ville étant seulement à 2800 mètres , nous retrouvons des températures agréables car quand nous avions quittés Potosi il y tombait des flocons…

Notre premier 5000…

Toujours à Potosi nous décidons de faire une excursion pour voir les lagunes environnantes. Arrivés près de celle-ci un vieux dicton de notre voyage refait surface « siempre mas ». Nous partons donc pour l’ascension d’une colline haute de 5000 mètres avec comme compagnons de route quelques lamas surpris de voir des marcheurs sur leur territoire.

La montée est difficile ( il faut chercher un sixième souffle!!) mais nous arrivons sains et saufs après trois heures et demie d’ascension. La haut comme toujours, un spectacle magnifique nous attends.

La bonne nouvelle est que nos corps réagissent plutôt bien à l’altitude, en attendant le 6000…Voici quelques photos de la ville…

Les mines de Potosi.

Potosi doit sa renommée à son altitude (la ville la plus élevé au monde à 4100m), mais aussi à ses mines d’argents. La ville a été crée par les espagnols en 1545 après la découverte d’un filon d’argent dans le Cerro Rico ci dessous.

Ses mines se sont révélés les plus productives et lucratives au monde. La ville a connue un tel essor qu’elle est devenue à la fin du XVIII siècle la citée la plus grande et la plus riche d’Amérique. Les Rois d’Espagne auraient touchés personnellement 20 pour cents de la production des mines…Très vite, des milliers d’esclaves indiens sont envoyé dans les mines. Vue les conditions, beaucoup d’indien sont victimes de silicose et d’accident de travail. La main d’œuvre étant insuffisante les espagnols font alors venir des esclaves africains. A partir de 1572 les esclaves sont obligés de travailler 12 heures par jour et de demeurer sous terre durant 4 mois d’affiler sans voir la lumière du jour. Au total, on estime que entre 1545 et 1825, 8 millions d’africains et d’indiens meurent dans des conditions atroces dans les mines de Potosí.

Aujourd’hui les mines du Cerro Rico sont coopératives. On y extrait surtout de l’étain, du zinc, du plomb et de l’argent. Des visites sont organisée, avant de se rendre dans une des 400 mines en activités, ont nous prêtes un équipement et ensuite nous partons au marché des mineurs pour acheter quelques choses a leur offrir .


On remerciera Mat pour son sourire irrésistible…Notre guide, ancien mineur, ce charge de choisir les cadeaux: soda, feuilles de coca, alcool potable a 96 degrés ainsi qu’un bâton de dynamite en vente libre ( 1 euro 50).

Nous entrons dans la mine, tout de suite l’air suffoquant se fait sentir. De plus des gaz nocifs que renferme la terre, le nitroglycérine et l’acétylène utilisés à chaque explosion se mélange à l’air comprimé qui traverse des tuyauteries en plomb délabrées…Nous pénétrons alors dans un véritable labyrinthe. Puisqu’ils croient en dieu, les mineurs croient aussi à la présence du diable sous terre. Notre guide nous emmène voir « El Tio » qui représente en fait le diable, leur environnement de travail ressemblant si fort à l’enfer qu’ils lui font des offrandes pour essayer de l’apaiser.

Un peut plus loin dans la mines nous tombons nez à nez avec deux mineurs qui poussent un wagon contenant une tonnes et demi de minerai, le guide nous explique qu’ils le remontent 10 à 13 fois par jour jusqu’à la surface. Nous leur demandons leurs ages, il nous répondes alors 14 et 15 ans…pas franchement enchantés de ce que nous venons de voir, nous descendons encore pour nous raprocher d’un bruit assourdissant, celui des foreuses qui perce la roche pour y inséré la dynamite. L’air saturé de poussières devient irrespirable, juste derrière les foreurs, un mineur pas beaucoup plus agès que les deux autres tente de mettre en place des rails, le tout sans masque ni foulard.

Ensuite, les volontaires suivent le guide à l’étage inférieure par une échelle instable. En bas, les mineurs sont remontés grâce à une corde, ils nous invitent à boire un mélange fait à base d’alcool potable.

Un bruit sourd se fait entendre, puis un autre et encore un autre. Les parois tremblent, des graviers tombent sur notre casque. Nous ne sommes pas rassuré, les mineurs ont fait explosés leur charges de tnt deux niveaux plus haut. Après quatre heures de visite nous sortons enfin a l’air libre, ce fut très intéressant mais aussi choquant. Il faut dire que les mineurs ont des conditions de travailles peut enviables. Les mineurs meurent souvent de silicose entre 10 et 20 ans après leur premiers jours dans la mine, mais les salaires, deux fois plus élevés que la moyenne poussent les enfants à quitter les campagnes pour se rendre sous terre.

Tupiza.

De retour en Bolivie!! En guise de bienvenue, notre bus a crevé sur la piste qui relie la frontière argentine à Tupiza.

Nous partons faire une balade dans un décore de far-west au dessus de la ville. En effet, c’est dans ces montagnes que Butch Cassidy et le Kid, en cavale en Amerique du sud, commirent l’ultime délit de leur carrière.

Nous suivons le lit d’une rivière asséchée, l’érosion a encore fait des sculptures étonnantes. Le passage devient de plus en plus étroit au point de ne mesure que un ou deux mètres de large. Il faut alors escalader des blocs pour continuer à avancer, jusqu’à un certain point ou cela devient trop périlleux, nous faisons alors demi-tour et rentrons au village.

Geysers et Licancabur

3eme et derniers jours de rallye dans le sud de la Bolivie. Cette fois ci, réveil a 5h. Lever de soleil sur la laguna Colorada puis direction les geysers de Sol de Manana. Nous posons le pied a 4870 mètres…plus haut que le Mont-Blanc, une odeur de soufre nous empeste mais la chaleur des geysers bouillonnant nous attires.

Ensuite, décrassage dans les thermales le bonheur absolu…notre chauffeur nous obliges a sortir de l’eau après vingt minutes de bain.

Nous traversons des paysages lunaires pour nous rendre au pied du Licancabur et de la Laguna Verde, la frontière chilienne est a deux pas, nous disons au revoir a Adrien puis grimpons dans le bus pour la migration et San Pedro de Atacama. Les mots manques pour décrire ces trois jours… Il faut vraiment le voir pour le croire.

Lagunas et volcans

Le lendemain, réveil a 6h et départ a 7h de l’hôtel de sel direction sud lipez. Des volcans se dessines au loin ambiance disco dans le 4×4 Javier nous gates. Nous passons le dernier village avant la frontière chilienne qui se trouves a plus de 200 km, autant dire qu’il n’y a rien aux alentours a part des centaines de volcans.

Nous passons devant l’Ollague (5850 m) toujours en activité et remarquons ses fumeroles. Nous nous arrêtons pour manger a la laguna Canapa en compagnie des flamands roses, le decor est a coupe le souffle….par la suite nous passons a la laguna Hedionda puis par l’arbre de pierre.

Arrives a la Laguna Colorada nous tentons d’escalades un volcans mais les conditions sont extrêmes, un vent fort et glace souffle sur la lagune et le faite que nous étions a 4500 m n’arrangeait pas les choses. Le soleil se couche, nous rentrons au gites près de la lagunes.

Salar d’Uyuni

Nous sommes donc parti de la paz mardi pour Uyuni, dans le train nous avons recrutes un autrichien ( Adrien un mec super cool ) , deux allemandes et un allemand.

Jeudi nous sommes partis découvrir le salar et les environs avec comme pilote Javier. Après une halte dans un cimetière de train nous nous sommes rendues dans cette immense étendue de sel pour manger sur l’isla de los pescadores ( l’ile des pécheurs ) et ses cactus vieux de mille ans, ensuite la caravane de 4×4 nous a déposé dans un hôtel de sel pour y passer la nuit. Une nuit fraiche et étoilée nous attendais.

La Paz…

Notre week-end a la Paz se termine, Eric et Jiovi nous ont regales et leur acceuil a ete super. Aujourd’hui nous sommes alle a El Alto sur les hauteur de la ville puis dans la valle de la lune plus au sud (voir les photos ci dessous).

Demain nous partons pour Uyuni au bord du salar ( Voir sur l’itineraire la grosse tache blanche au sud de la paz), nous y allons en train. Le lendemain nous partons faire trois jours de quatre quatre pour traverse le sud Lipez et ses volcans ( Finance par la soire poker avec les amis d’Eric, je me suis regale, les autres moins 🙂 ) et nous faire deposer a San Pedro De Atacama au Chili.

Il n’y a pas de pc dans le desert alors nous vous shouaitons une bonne semaine.