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Le tour des Annapurnas: partie 2

Nous quittons Manang sans nos compagnons de route partis à l’Ice Lake et entamons l’ascension du col Thorung La (5416m). Lors de ces 3 jours, les étapes sont plus courtes mais plus fatigantes dû au dénivelé et à l’altitude (par chance nous ne ressentons pas ses désagréments à part un léger mal de tête).

Une première nuit à Ledar puis nous arrivons au high camp à 4800m, nous nous retrouvons sous des averses de neige et de grésille, dans la seule et unique lodge à cette altitude, l’ambiance est chaleureuse, tout le monde est impatient de passer le col et les discutions vont bon train.

 

Le lendemain départ à 5h, la brume laisse doucement place à un ciel étoilé, les jambes se font lourdes au fur et à mesure de notre progression. Le souffle court nous assistons à l’arrivée des premiers rayons du soleil sur le Thorung Peak. Mais celui-ci se trouvant à une distance respectable et le col se trouvant à son pied, on en déduit qu’il nous reste une bonne trotte avant de le franchir.

Une heure plus tard nous arrivons au Thorung la ! Le devoir accompli, nous entamons la descente vers Muktinath, l’air se fait plus dense et le pas plus rapide. Les paysages changent totalement, la vue s’ouvre sur les régions désertiques du Mustang et du Dolpo, privées des pluies de mousson par la chaine des Annapurnas.

 Le lendemain nous partons pour Jomsom, après quelques heures de descente nous arrivons dans la vallée de la Kali Gandaki. D’un coté se dresse le Nilgiri (7061m) et de l’autre le Dhaulagiri (8167m). Le lit de la rivière s’étale sur plus d’un kilomètre, au premier abord on trouve cela charmant, sauf que dès midi des vents violents remontent la vallée soulevant de véritable tempête de sable ! Il faut se couvrir intégralement le visage pour avancer.

 Après deux heures de galère, nous arrivons à Jomsom, nous y mangeons mais l’aspect de la ville nous déplaît, nous continuons alors notre chemin jusque la ravissante Marpha. Surement un des plus beau village que nous aurons traversés avec son temple et ses maisons typiques, blanches aux fenêtres bordeaux, le long de sa longue et étroite rue piétonnière, les boutiques de souvenirs tibétains se succèdent, rempli d’étoffes, de foulards et de bijoux…Le soir nous dégustons un brandy (spécialité de la région), au petit matin nous voilà de nouveaux sur les chemins.

Nous descendons tranquillement la vallée en s’octroyant un jour de pause à Kokhetanti, car les courbatures ont refait surface et de plus, ce petit village d’une quinzaine d’habitations se trouve face à un cirque magnifique. De la terrasse du lodge, nous avons une vue imprenable sur le Tukuche Peak et une partie du glacier Est du Dhaulagiri, puisqu’on a le temps, pourquoi se priver. Trois jours plus tard, nous voilà à Totepani, à deux jours de la fin.

Une dernière difficulté reste à franchir : nous devons remonter 2000 m de dénivelé afin de rejoindre Ghorepani qui offre un point de vue sur l’Himalaya. L’ambiance change radicalement, en effet ce village se trouve à deux jours de marche de Pokhara, en pleine saison les touristes se font légions.Nous décidons de partir avant l’aube à Poon Hill pour y voir le levée de soleil, c’est un point de vue splendide, sur l’Annapurna, le Daulaghiri, le Machapucharé … petit bémol, nous ne sommes pas les seuls à vouloir apercevoir les premiers rayons du soleil éclairer certaines des plus hautes cimes du monde. Perchés à 3200m ce n’est pas moins de 400 touristes qui se retrouvent agglutinés. Nous ne trainons pas… une longue descente de six heures jusqu’a Nayapul achève le tour des Annapurnas.

 Nous sommes de retour à Pokhara et prenons une semaine de repos avant d’entamer un trek d’environs 25 jours dans la région de l’Everest, et oui tout cela n’était qu’un vaste entrainement !

Le Piton des Neiges (3071 m)

Le Piton des Neiges est le point culminant de l’île de la Réunion,  à 3070 m. Massif volcanique aujourd’hui partiellement érodé. Il est composé de 3 cirques résultants de l’effet du régime pluviométrique fort et de la friabilité des roches. La dernière éruption du Piton des Neiges est datée de 12000 ans.

Deux itinéraires possibles:


Depuis Cilaos:

Départ: 1380 m,  Dénivelé:  1800 m, Distance: 8km/Aller

Accès: Après avoir traversé le village de Cilaos, se rendre au lieu dit du Bloc.

Entre le Bloc et la caverne Dufour, l’ascension du rempart (1200 mètres de dénivelé) se fait sur un sentier fait de marche. Note: il existe un point d’eau à mi-chemin. Une fois en haut du rempart, 5 minutes de marche suffisent pour se rendre au refuge de la Caverne Dufour (2478 m) certains y passerons la nuit pour aller voir le levé de soleil du haut du Piton des Neiges. Possibilité de bivouaqué près du refuge.

Les derniers 600 m d’ascensions se font aux travers  de roches volcaniques. le chemin est balisé de peinture blanche en cas de brouillard ( ils sont fréquents aux sommet).

Depuis La Plaine des Caffres:

Départ: 1600 m, Dénivelé:  1650 m, Distance: 15,5 km/Aller

accès: Entre Bourg Murat et le Col de Bellevue, une petite route bétonné qui part sur la gauche (au panneau « Piton des Neiges »). Un petit parking se situe au bout de la routes.

Si vous êtes un amateur de boue, de cailloux glissants comme des savonnettes, de brouillards ou alors si vous avez peu de respect pour vos chaussures…ce sentier est fait pour vous!!

Plus sérieusement, la pluviométrie sur cette zone est supérieur à 8000 mm par ans (7 fois la moyenne annuelle d’une ville bretonne). Entre les plaines et le gite de la Caverne Dufour, le sentier est une succession de flaque d’eau et de boue qu’il sera difficile d’éviter, il faut donc prévoir son coup (une autre paire de chaussure) si vous comptez dormir au refuge est monter au sommet au petit matin, car les pieds humides et le froid ne font pas bon ménage…Quand à l’itinéraire, le Gr passe d’abord entre le Piton Lapervanche et le Piton Tortue, puis après 6km de marche, l’on descend un rempart de 100m et la végétation devient plus luxuriante, c’est l’immense forêt de Bébour. Il reste alors 6km de marche à travers la foret puis le coteau des Kerveguen pour rejoindre le refuge.


La Brèche de Roland (2804 m)

 

Située au cœur du joyaux des Pyrénnées, sur le rempart du cirque de Gavarnie, cette Brèche de 40m de large pour 100 de haut est impressionnantes. Elle est un passage obligé pour les marcheur qui se rende au Taillon ou au Casque.

 

gavarnie-breche-roland (10)

Sommet: 2804 m
Départ: 2214 m
Dénivelé: 650 m
distances: 10 km A/R
difficultés techniques: aucune

Accès: A Gavarnie prendre la direction de la Station Gavarnie-Gèdre, puis se garer au Col des Tentes (2212 m).

Marcher sur la piste jusqu’au col de Boucharo. Arriver à ce dernier, prendre  à droite, le sentier passe sous le Taillon puis monte dans un cours d’eau (main courantes). Le replat est le signe que le marcheur approche du refuge des Sarradets. Il est alors temps de faire une petite pose devant ce cirque majestueux…Ensuite, le sentier continu au dessus du refuge et l’on rejoint la brèche en passant sur un gros névé. Le site est très fréquenté en saison et la qualité la trace permet de monter sans équipement.

Ce jour la, nous comptions monter au Casque (3006 m) avant que la météo instable nous oblige a rebrousser chemin.

Pic de Campbieil (3173m)

Stitched Panorama

Le Pic de Campbieil est un des ‘3000’ le plus accessible des Pyrénées. Un dénivelé acceptable et une altitude élevée pour la chaîne en font un sommet idéal pour découvrir le massif du Néouvielle.

Sommet: 3173 m
Départ: 2170 m
Dénivelé: 1100 m
distances: 15 km A/R
difficultés techniques: Aucune en saison.

Accès: après St Lary-Soulan continué en direction de l’Espagne et du tunnel de Bielsa, après quelques kilomètres , bifurquer à droite en direction de la réserve du Néouvielle, après une dizaine de kilomètres continuer sur votre gauche en direction du barge de Cap de Long ( on ne peut pas le raté…) puis se garer au parking du barrage.

longer le lac par la gauche, passer en contrebas d’un éboulement puis continué sur la berge. Après un kilomètres de marche, le chemin s’élève sur quelques lacés, puis, l’on chemine à flanc de montagne sur des gros blocs granitiques ( cela rappellera des souvenirs à celles et ceux qui ont gravis le Néouvielle…). Après avoir passer un éboulement l’on rejoint le vallon de Cap de Long, le Campbieil est alors visible. Suivre le cours d’eau, remonter l’ancien front glaciaire, le Campbieil apparait alors au milieu d’un paysage désertique (2600m). Monter alors sur la droite du vallon, continuer jusqu’au replat situé sur des roches blanches, laisser le Pic Long derrière et attaquer la montée final aux milieu des schistes roux. Le sommet se présent sous la forme d’une longue crête.

Du sommet, on domine la station de Piau-Engaly, la vue est dégager sur le haut Luchonais, le cirque de Troumouse et Le Massif de Gavarnie/Mont Perdu (3355 m) ainsi que le Vignemale (3298m) et le Néouvielle.

Il est possible de redescendre par le Pic et le vallon d’Estaragne (3006 m) et donc d’effectuer une boucle.

Pic de La Sauvegarde

Stitched Panorama

Le Pic de la Sauvegarde est un sommet de la Haute Garonne culminant à 2738 m, il est situé sur la crête frontière  juste en face de l’Aneto.

Sommet: 2738 m
Départ: 1375 m
Dénivelé: 1380 m
distances: 14 km A/R
difficultés techniques: Aucune en saison

Accès: à Bagnère de Luchon, Prendre la direction de l’Hospice de France, Une petite route amène jusqu’au parking de l’Hospice.

Une fois au parking, monter en direction du Port de Vénasque. Après 800 mètres de dénivelés, se trouvent le refuge du Boum de Vénasque. Arriver la, le marcheur comprend vite qu’il faut contourner le sommet…l’on franchi donc le port de Vénasque situé à gauche du Pic de La sauvegarde. Une fois passé la brèche synonyme de frontière avec l’Espagne, on se retrouve juste en face de l’Aneto (3404m). Sur la droite, un chemin évident monte jusqu’au sommet.

Les trois Cirques de la Réunion.

Au cœur de l’Ile de la Réunion, voici un  Trek de 3 jours en autonomie  traversant les cirques de Salazie, Mafate et Cilaos. Le massique volcanique du Piton Des Neiges est le point culminant de l’île à 3070 m. Aujourd’hui partiellement érodé, il est composé de 3 cirques résultants de l’effet du régime pluviométrique fort et de la friabilité des roches. La dernière éruption du Piton des Neiges est datée de 12000 ans. Avant toute randonné sur l’Ile de la Réunion il est de rigueur de consulter le site de l’ONF affin de connaitre l’état des sentiers.

Jour1: 28 km, Dénivelé positif : 1700 m , Dénivelé négatif:  2340m

Départ du Gite de Bélouve en direction de Hell Bourg pour 800 mètres de descente en guise d’échauffement, traverser le village puis continuer a descendre par une route bétonnée jusqu’à un parking situé juste au dessus de la rivière du Mat. Un peut plus bas, un pont permet de franchir la rivière, suivre le sentier sur la gauche, continuer sur le GR1 en direction de la plaine aux sables. Après avoir traversé la foret, il faut laisser le GR1 sue sa gauche et prendre la variante en direction du lieu dit  » Le Bélier ». Le sentier traverse par deux fois des cours d’eau. Continuer jusqu’aux habitations, ensuite il faut monter le col des Bœufs par la route. Après une petite heure de marche, le sentier Scout qui relie le col à Ilet a Bourse, apparait sur la droite de la route. La descente de ce sentier offre un superbe panorama sur les bas de Mafate. Au croisement prendre sur la droite, traverser un pont puis remonter vers ilet a Bourses la suite est une succession de montées et de descentes vers Cayenne. Le bivouac de Cayenne n’existe plus, il faut donc demander aux habitants ou l’on peut planter la tente ou alors dormir au gite…

jour 2 : 18 km, Dénivelé positif : 1622, Dénivelé négatif: 800

Le lendemain partir en direction de Roche Plate. Le sentier, taillé à flanc de falaise surplombe la rivière des Galets, il amène a descendre dans le lit de la rivière. Traverser puis suivre la rivière sur la droite pendant quelques centaines de mètres. Ensuite commence la monté vers roche plate…attention au coup de chaud sous le soleil tropical!!

Une fois a roche plate, il faut faire le plein des bouteilles, puis partir en direction de Marla, le GR2 amène au rempart qui relie le grand Bénares au Maido. Après une succession de montés et descentes, l’on retrouve la rivière des Galets, puis l’on entame la montée vers Marla dans un paysage qui change du tout au tout. Les lieux de bivouac ne manque pas à Marla.

Jour3:  12 km, Dénivelé positif: 617 , Dénivelé négatif: 1050

Étape courte qui verra le franchissement du col du Taibit (2142 m), puis la descente vers le village de Cilaos, toujours en suivant le GR2.

Le Vignemale

Le Vignemale est un massif mythique des Pyrénées  son sommet, la pic longue , culmine 3298 mètres. Son altitude en fait le quatrième plus haut massif des Pyrénées après l’Aneto, les Possets et le mont Perdu. Il est aussi le plus haut sommet français de la chaine.

topo-vignemale (13)

Sommet: 3298 m
Départ: 1840 m
Dénivelé: 1500 m
distances: 14,5 km A/R
difficultés techniques: sommet coté  AD. La traversée du glacier nécessite des crampons.

Temps: entre 7  et 11 h selon condition physique.

Accès au départ: Aller jusqu’à Gavarnie puis prendre la direction du barrage d’Ossoue, après quelques kilomètres la route cède la place à une piste qui monte jusqu’au pied du barrage à 1840 metres.

Depuis le barrage, suivre le GR10 et longer le lac sur sa droite, puis traverser par un pont en pierre. La monté débute, il y a tout de suite un pont de neige a traversé puis le sentier évident monte en lacet. Passer devant les grottes de Bellevue (2378 m) puis quitter le GR10 vers 2550 et bifurquer sur le sentier qui monte au glacier d’Ossoue à travers un pierrier.

Une fois sur le glacier il est d’usage de mettre ses crampons, certains topo relatent des séracs aux pieds du glacier mais ceux-ci ont disparus. Lors de cette ascension le glacier était à vif, les crevasses étaient alors visibles et donc sans danger. Il convient de prendre des précautions en cas d’enneigement et d’absence de trace ( s’encorder restant le moyen le plus sur).

La pente du glacier commence raide, il faut viser la partie gauche du glacier. Puis, une fois la pente plus douce et la Pic Longue en vue viser cette dernière.

Déchausser les crampons à la première roche, puis grimper en faisant très attention aux chutes de pierres. Le sommet offre un superbe Panorama sur la chaine notamment sur le cirque de Gavarnie et le Balaitous,  le surplomb est impressionnant sur la vallée de Gaube.

La descente s’effectue par le même itinéraire. Prendre garde encore une fois, lors de la descente de la Pique Longue, a ne pas envoyé de pierre en contrebas.

Merci à Francis, Yves-Marie et Yoann pour l’ascension.

Le Mont Valier

Le Mont Valier est considéré comme l’un des plus beau sommet de l’Ariège. Même si il ne rentre pas dans le groupe des « 3000 », son aspect élancé et sa situation géographique excentré de la chaine principale, en fait un point de vue exceptionnel.

Sommet: 2838 m
Départ: 950 m
Dénivelé: 1900 m
distances: 15,5 km A/R
difficultés techniques: aucunes

Temps: entre 9 et 11 h selon condition physique, possibilité de dormir au refuge.


(article en construction)

Pic D’Estats et Montcalm.

Situé à cheval sur la frontière, Le Pique d’Estats est le point culminant de l’Ariège mais aussi de la Catalogne. Haut de 3143 mètres, il est, avec son acolyte le Montcalm (3077 m) le premier 3000 des Pyrénées depuis la méditerranée.

Il offre une vue sur les Pyrénées orientales mais aussi sur les massifs de l’Aneto, des Posets, du Néouvielle et même du Vignemale par temps clair.
Pique-D-Estats (24)

Sommet: 3143 m
Départ: 1180 m
Dénivelé: 2000 m
distances: 13,5 km A/R
difficultés techniques: aucune
Temps: entre 8 et 12h selon condition physique.

Accès au départ : Après Foix suivre Tarascon, Puis prendre la D8 en direction de Vicdessos / Auzat. Ensuite prendre la direction de Marc. Puis suivre L’Artigue.

Depuis le parking, remonter le chemin qui longe le ruisseau situé à votre gauche, traverser par un pont en piere puis continuer jusqu’au croisement.

Au croisement prendre à gauche par le sentier qui monte en serpentant. On prend rapidement 500 m de dénivelés dans la foret. A la sortie de la foret se trouve de vastes prairies. Suivre le chemin balisé qui mène au refuge du Pinet.

Le refuge se trouve à mi-parcours à 2224 m d’altitude. Le sentier passe ensuite au dessus de l’étang puis il faut traversés à flanc de montagne jusqu’à l’étang d’Estats.

A l’étang prendre à gauche ou la pente s’élève fortement. Suivre les balises et les cairns jusqu’à l’étang de Montcalm d’où l’on aperçoit le Pic du même nom, puis prendre à droite. Prenez garde dans le pierrier à bien suivre le chemin car on s’en écarte souvent.

Arrivé à un col situé à 2950 mètres le chemin se dédouble, un vers le Montcalm ( 3077 m), l’autre à la Pique D’Estats (3143 m).

La descente s’effectue par le même itinéraire.

Des news…

De nouvelles galeries sur le voyage en Amérique du sud sont crées en ce moment. Chaque photo est comentée, vous pouvez dors et déja allez visiter celle des lieux suivant: Lima, Cusco, Pisac, La Paz, Lac Titicaca, Salar d’Uyuni, Sud Lipez, Santiago, Pucon, Puyehue, Valdivia, Villarica, Bariloche, Fitz Roy, Perito moreno, Torres Del Paine, Ushuaia.

Par ailleurs, Les pyrénées, l’Auvergne, L’Espagne et la Bretagne seront bientot à l’honeur!!

Mise à jour…

Comme vous pouvez le constater, le blog est en activité en ce moment. Il s’agit d’une mise à jour de la plateforme (wordpress en l’occurrence), du thème, et des plugins (photos, videos).

Je compte travailler dessus durant tout le mois de novembre, donc si vous avez une suggestion vous pouvez utiliser le forum.

Merci à tous de consulter le blog de Mat et Yo qui sera bientôt prêt pour vous conter de nouvelles aventures !

@Bientôt

De La Paz a Arequipa

La Paz….

Images de La Plaza Murillo ainsi que de la rue Linares située au marché des sorcières. Les photos de la ville sont prises depuis El Alto, le cartier pauvre situer sur l’altiplano.

Entre la ville et le lac Titicaca se trouvent les ruines de Tiwanaku, une des plus vielle ville du monde. La civilisation Tiwanaku avait une grande maitrise de la taille de la pierre et son architecture soignée préfigure celle des Incas.

Situe a 2300 mètres d’altitude, Arequipa est la deuxième ville du Pérou avec plus d’un million d’habitants. Construite au pied de deux géants, les volcans Misti et Chachani ( 5800 et 6010 mètres), la ville fut dévastée à plusieurs reprises par les éruptions volcaniques et les séismes.

Machu Picchu.

Parties a 4h du matin d’Aguas Calientes nous somme montes au sites a pied. Les grilles ont ouvert a 6h. Les deux premiers sur le site, nous avons assistes au lever de soleil, tout d’abord sur les sommets enneige du Salkantai, puis sur le Wayna Pitchu et la cite…une force impressionante se degage du site.

Apres nous sommes montes sur le Wayna Picchu par un escalier escarpe. La vue sur les montagnes environantes est impressionante. Voici une serie de photo des ruines, les historiens ne sachant pas grand chose du site, les photos des ruines se passe de commentaires, les roches paraissent empiles par magie.

Avant de partir nous sommes remonte a l’endroit ou la vue reste la meilleure. Ce n’est que des cailloux et un peut d’herbe en fin de compte….franchement, ca vaut pas un menhir sur les mont d’Aree…

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Une des sept nouvelles merveilles du monde…et ce n’est pas vole.

3 jours dans la Pampa…

Nous sommes partis faire un petit tour dans la pampa pendant trois jours départ de Rurrenabaque, nous sommes 8 a faire ce tour dont 5 Français. Stéphane avec qui nous passâmes le nouvel an à Bariloche et qu’on a retrouvés à La Paz par hasard nous accompagne, un Anglais et deux Australiens aussi. Luis est notre guide et va s’averer très bon. (décidément y sont bien ces Luis)

1er Jour :

Départ de Rurrenabaque pour 4 heures de 4×4 (pas cool après 20 heures de bus sur la route de la mort) pour arriver dans un petit bled ou l’on nous propose de manger un bout. Pas de problèmes, enfin presque pas puisque dans le resto se trouvait un singe voleur de banane, un porque-pic, quelques chiens affamés, un oiseau d’un bon mètre cinquante et un perroquet enfin bref, un véritable Zoo et dans ce cas la, gare à ton assiette…

L’après midi, petit tour en pirogue pour découvrir toutes sortes d’oiseaux, quelques singes très sympathiques et notre campement ou nous attendait Pédro, un alligators de 2 mètres cinquante de long…

le soir, couché de soleil au bar s’il vous plait…

2ème Jour :

Nous sommes partis en véritable aventuriers dans la pampa à la recherche d’un ou plusieurs serpent avec comme but premier de rencontrer le fameux Anaconda. Cette recherche c’est transformée en une balade dans un marécage avec de l’eau au dessus des genoux, autant dire que les botes dans ces cas la ne servent à rien… Nous sommes alors transformés en casse croute pour moustiques et les serpents sont bien cachés. La seul chose qu’on a vu, un gros crapaud, merci Luis…

Pour se decrasser rien de tel que sauter dans la rivière avec une liane… Apres un bon repas direction les hamacs pour décompresser.

L’après midi nous allons à la découverte de nouvelles d’espèces de singes comme le cappuccino ou encore le paresseux.

3eme Jour :

Debout de bonne heure pour la peche au piranhas. Les bretons gagnent avec un poisson chacun… Suite de la journée, baignade avec les dauphins roses puis il faut une nouvelle fois plier bagages…

Rurrenabaque

La route pour Rurrenabaque était la plus dangereuse au monde et surnommée « la route de la mort ». Les récents aménagements font diminuer le nombre d’accidents sur la partie haute de la route entre La Paz et Coroico. Mais après Corocico ça se corse. La route devient une piste, les rambardes disparaissent et laissent place à des ravins. Des carcasses de bus en contrebas sont la pour nous rassurer, de plus, un bus de notre compagnie est tombé le mois dernier. Il faut savoir que lorsque deux véhicules se croisent, celui qui descend se met au bord du ravin pour laisser passer son compère. Lors de se croisement, une partie du chemin a commencé à s’effondrer sous le poids de notre bus. Pas vraiment rassuré…

Lors de la descente, le froid sec de l’altiplano laisse place à la chaleur humide de la jungle.

Rurrenabaque se trouve sur la rive du Beni, affluant de l’Amazone. La ville est à la limite entre la cordillère et les vastes plaines du bassin amazonien.

Pour nous rendre dans la Pampa inondée ou nous devons passer trois jours, encore 4h de chemins boueux avec une crevaison et un bourbier en prime.

Sucre.

Capital constitutionnel du pays, Sucre a vécue la déclaration d’indépendance en 1825. Pas de chance, c’est le weekend de pâque, tous les musées sont fermés. Il ne reste donc plus grand chose à faire dans la ville…Voici quelques photos de l’architecture colonial de Sucre et du marche. La ville étant seulement à 2800 mètres , nous retrouvons des températures agréables car quand nous avions quittés Potosi il y tombait des flocons…

Notre premier 5000…

Toujours à Potosi nous décidons de faire une excursion pour voir les lagunes environnantes. Arrivés près de celle-ci un vieux dicton de notre voyage refait surface « siempre mas ». Nous partons donc pour l’ascension d’une colline haute de 5000 mètres avec comme compagnons de route quelques lamas surpris de voir des marcheurs sur leur territoire.

La montée est difficile ( il faut chercher un sixième souffle!!) mais nous arrivons sains et saufs après trois heures et demie d’ascension. La haut comme toujours, un spectacle magnifique nous attends.

La bonne nouvelle est que nos corps réagissent plutôt bien à l’altitude, en attendant le 6000…Voici quelques photos de la ville…

Les mines de Potosi.

Potosi doit sa renommée à son altitude (la ville la plus élevé au monde à 4100m), mais aussi à ses mines d’argents. La ville a été crée par les espagnols en 1545 après la découverte d’un filon d’argent dans le Cerro Rico ci dessous.

Ses mines se sont révélés les plus productives et lucratives au monde. La ville a connue un tel essor qu’elle est devenue à la fin du XVIII siècle la citée la plus grande et la plus riche d’Amérique. Les Rois d’Espagne auraient touchés personnellement 20 pour cents de la production des mines…Très vite, des milliers d’esclaves indiens sont envoyé dans les mines. Vue les conditions, beaucoup d’indien sont victimes de silicose et d’accident de travail. La main d’œuvre étant insuffisante les espagnols font alors venir des esclaves africains. A partir de 1572 les esclaves sont obligés de travailler 12 heures par jour et de demeurer sous terre durant 4 mois d’affiler sans voir la lumière du jour. Au total, on estime que entre 1545 et 1825, 8 millions d’africains et d’indiens meurent dans des conditions atroces dans les mines de Potosí.

Aujourd’hui les mines du Cerro Rico sont coopératives. On y extrait surtout de l’étain, du zinc, du plomb et de l’argent. Des visites sont organisée, avant de se rendre dans une des 400 mines en activités, ont nous prêtes un équipement et ensuite nous partons au marché des mineurs pour acheter quelques choses a leur offrir .


On remerciera Mat pour son sourire irrésistible…Notre guide, ancien mineur, ce charge de choisir les cadeaux: soda, feuilles de coca, alcool potable a 96 degrés ainsi qu’un bâton de dynamite en vente libre ( 1 euro 50).

Nous entrons dans la mine, tout de suite l’air suffoquant se fait sentir. De plus des gaz nocifs que renferme la terre, le nitroglycérine et l’acétylène utilisés à chaque explosion se mélange à l’air comprimé qui traverse des tuyauteries en plomb délabrées…Nous pénétrons alors dans un véritable labyrinthe. Puisqu’ils croient en dieu, les mineurs croient aussi à la présence du diable sous terre. Notre guide nous emmène voir « El Tio » qui représente en fait le diable, leur environnement de travail ressemblant si fort à l’enfer qu’ils lui font des offrandes pour essayer de l’apaiser.

Un peut plus loin dans la mines nous tombons nez à nez avec deux mineurs qui poussent un wagon contenant une tonnes et demi de minerai, le guide nous explique qu’ils le remontent 10 à 13 fois par jour jusqu’à la surface. Nous leur demandons leurs ages, il nous répondes alors 14 et 15 ans…pas franchement enchantés de ce que nous venons de voir, nous descendons encore pour nous raprocher d’un bruit assourdissant, celui des foreuses qui perce la roche pour y inséré la dynamite. L’air saturé de poussières devient irrespirable, juste derrière les foreurs, un mineur pas beaucoup plus agès que les deux autres tente de mettre en place des rails, le tout sans masque ni foulard.

Ensuite, les volontaires suivent le guide à l’étage inférieure par une échelle instable. En bas, les mineurs sont remontés grâce à une corde, ils nous invitent à boire un mélange fait à base d’alcool potable.

Un bruit sourd se fait entendre, puis un autre et encore un autre. Les parois tremblent, des graviers tombent sur notre casque. Nous ne sommes pas rassuré, les mineurs ont fait explosés leur charges de tnt deux niveaux plus haut. Après quatre heures de visite nous sortons enfin a l’air libre, ce fut très intéressant mais aussi choquant. Il faut dire que les mineurs ont des conditions de travailles peut enviables. Les mineurs meurent souvent de silicose entre 10 et 20 ans après leur premiers jours dans la mine, mais les salaires, deux fois plus élevés que la moyenne poussent les enfants à quitter les campagnes pour se rendre sous terre.

Tupiza.

De retour en Bolivie!! En guise de bienvenue, notre bus a crevé sur la piste qui relie la frontière argentine à Tupiza.

Nous partons faire une balade dans un décore de far-west au dessus de la ville. En effet, c’est dans ces montagnes que Butch Cassidy et le Kid, en cavale en Amerique du sud, commirent l’ultime délit de leur carrière.

Nous suivons le lit d’une rivière asséchée, l’érosion a encore fait des sculptures étonnantes. Le passage devient de plus en plus étroit au point de ne mesure que un ou deux mètres de large. Il faut alors escalader des blocs pour continuer à avancer, jusqu’à un certain point ou cela devient trop périlleux, nous faisons alors demi-tour et rentrons au village.

Pumamarca et la Quebrada d’Humauaca

Purmamarca est un petit village d’altitude, il se trouve au pied de la montagne au sept couleurs. Ces couleurs résultent de différentes couches de sédiments marins qui après plusieurs millions d’années, se sont retrouvé de l’autre coté de la cordillère à 2000 mètres d’altitude.

Le jour suivant, nous prenons le bus pour Humahuaca. Nous restons la tête collée à la vitre durant la traversée de la quebrada…

Le lendemain nous quittons l’Argentine le huitième plus grand pays du monde, un pays démesuré, 5150 Km nous séparent alors d’Ushuaia.

Salinas Grande

A peine arrivés à Purmamarca, on nous propose de faire une excursion à la Salinas Grande située à une heure de route du village. La trajet qui nous emmène au salar passe par un col à 4170 mètres. Nous ne sommes pas encore acclimaté donc l’altitude se fait sentir.

De l’autre coté, les paysages changent, les vallées encaissées laissent place aux paysages caractéristiques de l’altiplano. Il faut reconaitre que après la visite du salar d’Uyuni, la Salinas Grande ne crée pas les mêmes impressions. Nous pouvons tout de même observer les processus d’extractions du sel.

Frontierre Bolivienne

Nous somme actuellement a Humahuca et demain nous passons la frontierre Bolivienne. La conexion etant trop lente (et encore je reste polie) pour faire quoi que ce soit de bien, nous ferons donc un post sur la Quebrada d’humahuaca plus tard.

Iguazu.

Samedi soir à Buenos Aires, autour d’un verre de Fernet, nous nous sommes posés une question: « Si on allais à Iguazu »!

Il faut savoir que l’on devais partir pour Salta sur la cordillère et que Iguazu n’est pas du tout sur la route…mais bon, nous ne regrettons pas!!!

Apres 20h de bus nous débarquons à Puerto Iguazu a midi, la clim nous a fais oublier que nous étions dans la jungle la chaleur et l’humidité nous l’ont rappelés. Nous débarquons le plus vite possible nos sacs a l’hôtel et sautons dans le Bus pour le Brésil.

Une heure plus tard nous sommes face à une chute de 90 mètres de haut qui s’appelle Garganta del Diablo (la gorge du Diable) et comme nous l’a dit une australienne en pleine contemplation, ça fait beaucoup d’eau!! Pour se rendre compte de la hauteur, vous pouvez observer une passerelles en haut de la grande chute sur la deuxième photos.

Le lendemain nous allons voir le coté Argentin des chutes, qui permet d’aller sur la passerelle juste au dessus de Garganta del Diablo et d’assister à un spectacle d’une puissance incomparable. (il nous manque toujours ce pu… de grand angle, quelle idée aussi, de faire des cascades aussi grosses!!)

On peut aussi y voir une série de cascades sur un arc de un kilomètre. On peut y faire le tour et même aller se baigner sur une petite ile en contrebas. Il faut savoir que ces jours ci le fleuve avait un débit faible. Lorsque celui ci est en crue, la série de cascades ne formes alors que une seule…nous avons donc vues un « petit Iguazu ».

La vue aeriene n’est pas de nous…Maintenant nous allons partir vers Salta et les montagnes après une petite nuit dans cet hôtel plutôt sympathique. Merci au Fernet, toujours la dans les grands moments.

Buenos Aires.

Encore une fois merci à Daisy et Clarissa de nous avoir accueillit chez vous.

Après avoir quitte Montevideo, nous sommes allés à Carmelo pour prendre le bateau qui traverse le delta du Tigre et qui relie Buenos Aires.

Arrivé dans cette ville qui fait tout de même presque une fois et demi Paris, nous avons commencé par chercher un hôtel. Après quelques échecs, les hôtels étant soit complet soit trop cher pour nous, une française nous demande si elle peut nous aider…

Et la suerte (chance) s’appellera donc Marine. Elle étudie ici depuis 7 mois et nous propose d’aller passer la nuit chez elle. Nous sortons ensemble voir une pièce de théâtre fait par des aveugles et jouer dans un noir complet. Puis nous sortons boire un verre pour découvrir Buenos Aires by night. Le lendemain nous nous rendons sur la célèbre place de mai puis au très chique puerto Madero.

Ce matin nous sommes allés à la feria de San Telmo pour écouter quelques notes de tango, voir les artisans avant de nous rendre à la station centrale de bus.

San Carlos de Bariloche

Nous somme partie le 29 décembre pour Bariloche Situe 80 kilomètres au sud de Villa la Augustura. Le contraste et frappant, des que l’on s’éloigne un peut de la cordillere le paysage change complètement les vallées vertes laissent place au vaste étendue Patagonienes, des collines dénudés et balaye par des vents violents. Bariloche se situe au bord du lac et au pied d’une grande station de ski. Nous y trouvons une auberge de jeunesse ou loge des gens de toutes nationalités, canadiens, argentins, américains, guatemalais, espagnols, mexicains, suisses, francais, allemands, italiens, australiens. Ce cocktail nous a offert un nouvel ans mémorable.

Mais deux jour avant, nous sommes parties faire une petite balade pour voir une cascade, le parfum enchanteur de la foret donne de l’inspiration a Mat qui, d’un tour magie digne de David Coperfield fait tomber sa pochette contenant passeport, argent et carte de crédit…

Apres des heures de recherches nous contactons l’honoraire du Consulat de France a Bariloche qui nous annonces que Mat peut se faire livrer un passeport d’urgence directement a Bariloche. Mais Aujourd’hui nous avons appris que cela ne fonctionne plus et que nous devons nous rendre a Buenos Aires ( une direction oppose a la notre ) et que il est possible que cela prenne plus de temps que prévu.

Au fait, bonne annee a tous!!!

Nous sommes en Argentine

Le lendemain de notre trek nous decidons de passer la frontiere en stop. C’est a ce moment la que nous apprenons que nous sommes le jour de noel… et oui nous etions decales de un jour ( au moins cela a le merite de faire durer Noel 3 jours…) . Cela ne nous arranges pas car la route est deserte.

Nous decidons de commencer a pied avec toutes nos affaire sur le dos ( 24 kilos chacun ce n’est pas drole) car pour le trek nous en avons laisser une bonne partie au garde du parc. Apres une heure de marche une famille d’argentins tres sympathiques s’arrete, nous passons la frontiere avec eux. Nous sommes en Argentine, ils nous chambrent sur la coupe du monde de rugby et nous parlent de Florent Pagny…ils nous deposent a Villa La Augustura au bord du lac Nahuel Huapi sous une chaleur de boeuf. Ici nous prenons trois jours de repos dans un camping au bord du lac ( et c’est pas degueu) avant de reprendre la route.

Valdivia

Après l´ascension du Villarrica nous nous sommes offert 2 jours a Valdivia, une ville situe au bord de mer. A la descente du bus nous avons rencontres un Auvergnat avec qui nous sommes allés camper. Le lendemain nous avons visites un fort, le marche au poissons ( avec des lions des mers) et nous sommes prélassés sur la plage…

Pucon et le Villarrica

Nous sommes arrives samedi a Pucon au sud du Chili avec Katu et Victor dans leur petite maison de campagne. Un site magnifique le plus vert que nous avons eu depuis le debut, Victor nous a fait faire un tour de 4×4 ou nous avons fleurtés avec le paysage. Nous avons quittes hier Katu et Victor pour retrouver un français Thomas, que nous avons connus a San Pedro.

Nous partons faire aujourd’hui la chose qui nous obsède depuis notre arrives a Pucon, la montée
du volcan Villarrica. Nous commençons donc l’ascension de Pucon au pied du volcan pour dormir dans la tente que nous venons d’acheter et a l’aube nous grimperons le sommet.

Canon Del Maipo et Valparaiso

Voici quelques photos du Canon del Maipo situe a une cinquantaines de kilomètres de Santiago. Nous avons grimpes la montagne surplombant le village de San Juan sous un soleil de plomb.

Hier nous sommes allés a Valparaiso ville classe au patrimoine mondial de l’Unesco. Nous y avons visités la maison de Pablo Neruda, célèbre poète et ambassadeur chilien, mais aussi le port avant de sombrer dans le rhum et une débauche innommable dont nous avons du mal de nous rappeler et nous relever.

Pérou

La galerie des photos du Perou a ete reactive, le lien en dessous de celle-ci permet de les regarder en grand…

Sinon Eric et Jiovi nous ne vous avons pas oublie , comme promis une photo de vous deux sur le site.

Pour l´instant nous passons des journée harassantes entre la piscines, les cocktails et le canape du salon mais cela ne vas pas dure, voici notre programmes pour les prochains jours.

La semaine prochaine nous allons visiter le Canon del Malpo puis le port de Valparaiso ou nous allons feter mon anniversaire. Ensuite, nous sommes invites dans la maison secondaire de Katu et Victor situee a Pucon ou nous irons le week-end prochain avant de se lancer dans une randonne epique: 200 km a pied a travers la region des lacs et la cordillere, de Petrhoe pres du volcan Osorno a Bariloche en Argentine.

Santiago

Nous revoilà après tant de jours sans donner de nouvelles. Nous sommes a Santiago chez Katu et Victor, tout se passe pour le mieux. Le contraste avec la Bolivie est stupéfiant, Santiago est une ville magnifique et nous y sommes accueillis comme des princes. Le temps est au beau fixe et nous prenons du bon temps entre le centre ville et la piscine. Nous avons fêtés l’anniversaire de Thomas et fait découvrir le Biskit au chilien mais les bretons reste maitres en la matière.

Geysers et Licancabur

3eme et derniers jours de rallye dans le sud de la Bolivie. Cette fois ci, réveil a 5h. Lever de soleil sur la laguna Colorada puis direction les geysers de Sol de Manana. Nous posons le pied a 4870 mètres…plus haut que le Mont-Blanc, une odeur de soufre nous empeste mais la chaleur des geysers bouillonnant nous attires.

Ensuite, décrassage dans les thermales le bonheur absolu…notre chauffeur nous obliges a sortir de l’eau après vingt minutes de bain.

Nous traversons des paysages lunaires pour nous rendre au pied du Licancabur et de la Laguna Verde, la frontière chilienne est a deux pas, nous disons au revoir a Adrien puis grimpons dans le bus pour la migration et San Pedro de Atacama. Les mots manques pour décrire ces trois jours… Il faut vraiment le voir pour le croire.

Lagunas et volcans

Le lendemain, réveil a 6h et départ a 7h de l’hôtel de sel direction sud lipez. Des volcans se dessines au loin ambiance disco dans le 4×4 Javier nous gates. Nous passons le dernier village avant la frontière chilienne qui se trouves a plus de 200 km, autant dire qu’il n’y a rien aux alentours a part des centaines de volcans.

Nous passons devant l’Ollague (5850 m) toujours en activité et remarquons ses fumeroles. Nous nous arrêtons pour manger a la laguna Canapa en compagnie des flamands roses, le decor est a coupe le souffle….par la suite nous passons a la laguna Hedionda puis par l’arbre de pierre.

Arrives a la Laguna Colorada nous tentons d’escalades un volcans mais les conditions sont extrêmes, un vent fort et glace souffle sur la lagune et le faite que nous étions a 4500 m n’arrangeait pas les choses. Le soleil se couche, nous rentrons au gites près de la lagunes.

Salar d’Uyuni

Nous sommes donc parti de la paz mardi pour Uyuni, dans le train nous avons recrutes un autrichien ( Adrien un mec super cool ) , deux allemandes et un allemand.

Jeudi nous sommes partis découvrir le salar et les environs avec comme pilote Javier. Après une halte dans un cimetière de train nous nous sommes rendues dans cette immense étendue de sel pour manger sur l’isla de los pescadores ( l’ile des pécheurs ) et ses cactus vieux de mille ans, ensuite la caravane de 4×4 nous a déposé dans un hôtel de sel pour y passer la nuit. Une nuit fraiche et étoilée nous attendais.

La Paz…

Notre week-end a la Paz se termine, Eric et Jiovi nous ont regales et leur acceuil a ete super. Aujourd’hui nous sommes alle a El Alto sur les hauteur de la ville puis dans la valle de la lune plus au sud (voir les photos ci dessous).

Demain nous partons pour Uyuni au bord du salar ( Voir sur l’itineraire la grosse tache blanche au sud de la paz), nous y allons en train. Le lendemain nous partons faire trois jours de quatre quatre pour traverse le sud Lipez et ses volcans ( Finance par la soire poker avec les amis d’Eric, je me suis regale, les autres moins 🙂 ) et nous faire deposer a San Pedro De Atacama au Chili.

Il n’y a pas de pc dans le desert alors nous vous shouaitons une bonne semaine.

¡Bienvenidos en Bolivia!

Nous revoilà, après cinq jours sans internet nous vous écrivons depuis La Paz. Dimanche dernier, nous avons traversé la frontière Perou/Bolivie sans encombre et débarqué sur la plage de Copacabana. C’est une petite ville paisible au bord du lac Titicaca ou nous avons rencontré des artisans de toutes nationalités avec qui nous avons joué de la musique.

Le lendemain matin nous avons grimpé le sommet le plus proche et nous nous sommes perdus au milieu des alpagas (cousin du lama). En rentrant a l’hôtel nous avons sympathises avec Stéphane, Anna et Louna leur fille de 5 ans avec qui nous sommes partis, le lendemain, sur Isla del Sol.

Au petit matin, le bateau nous a déposé au village de Cha’llapampa au nord de l’île sous une pluie battante. Avec chance, le soleil est revenu vers midi lors de la visite du labyrinthe de Chincana qui se trouve à côté de la pierre sacré où la religion Inca a été créé. De retour à Cha’llapampa nous nous sommes rendus à la casa de Alfonso, faite de terre cuite et de chaume, juste avant que l’orage éclate. Ici vie la grande famille d’Alfonso ainsi qu’une Uruguayenne et un Argentin. La nuit tombé et cinq bières plus tard, nous sommes partis en mission amphibie avec Stéphane pour chercher de quoi manger. Au réveil nous avons traversé l’île avec Louna sur le dos, pour prendre le bateau pour Copacabanana au sud de l’île.

Aujourd’hui nous avons pris le bus pour La Paz où nous avons rencontré Eric qui nous a invité à passer le week-end avec lui.

Le site fonctionne en Bolivie, ont a donc pu afficher les photos dans la galerie… bon voyage.

Puno

Le voyage entre Cusco et Puno a été laborieux, le nom de la compagnie de bus a change a la dernière minute ainsi que le jolie car sur la photo qui c’est métamorphosé en bus sans par-choques avec des sièges cassés. En plus vue que le trajet été direct, le bus c’est arrêté dans tout les patelins locaux…et nous a déposer à une heure de Puno pour en prendre un autre. Enfin, on a signer pour ça…
Malgré cela nous sommes bien arrive et le trajet a été encore une fois grandiose. Nous sommes passès de vallées verdoyantes à des sommets enneigés pour finir avec le lac Titicaca et l’Altiplano.
Aujourd’hui nous avons grimpés la colline qui surplombe Puno avec difficulté ( l’air se fait rare). La haut la vue était encore une fois splendide.
Demain nous partons en Bolivie à Copacabana de l’autre cote du lac si la soirée n’est pas trop arrose car nous avons sympathisé avec les gérants d’un bar hier soir….

Ruines Inca

Aujourd’hui sera a marquer dans les annales comme notre plus belle journée (enfin pour l’instant).

En effet nous avons visité les ruines de Pisac dans la vallée sacré.

Nous avons beaucoup marché (environ 15 Km) et escaladé une montagne, donc maintenant nous sommes bien crevé mais surtout bien acclimaté, heureusement car demain, départ pour Puno sur les rives du lac titicaca (encore 7 heures de bus) a 4000 mètres d’altitudes.

Enfin ca marche, voici quelques nouvelles :

Après beaucoup de problèmes informatiques, nous voila, en grande forme et prêt a vous donner des nouvelles. Nous sommes à Cusco à 3400 mètres d’altitude, la respiration est difficile mais le moral est bon. Notre week-end à Lima c’est très bien passé, Arturo nous a reserver un accueil chaleureux, il nous a fait visiter la ville puis nous avons fêté l’anniversaire de sa sœur avec toute sa famille.

Le trajet Lima-Cusco a été très long, la nuit a été dur nous somme montée de 0 a 4000m en deux heure et il n’y avait pas de chauffage dans le car, autant vous dire une nuit de…. A l’aube nous avons vite oublié nos désagrément devant un spectacle magnifique: La cordillère des Andes.



En un seul morceau

Alors ça y est ils sont arrivés par le car et apparemment en un seul morceau…

J ai passé les messages que vous aviez laissé sur le site en couper/coller via Msn en attendant qu ils puissent se connecter ( au fait Mik, Yo n a pas recu ton mail )

Sinon quid de leur compréhension de l espagnol ?

D après ce que j ai pu saisir et selon les termes de Mat : « Yo est une vraie cave », tandis que lui « baragouine un certain espagnol ». Mais je te rassure Luis, tout ceci est a relativiser étant donné que c est Mat qui avait le contrôle du clavier….

Il est quelque chose comme 14h3o la bas, il sont donc partis manger et ils doivent m envoyer des photos apres avoir ingurgité leur repas, photos, que l on pourra, je pense mettre sur le site. Hein mik?

@ Bientot.

Au boulot ô grand admin’

Bon alors dernières nouvelles, après une journée de travail ma foi très ardue et prolifique ( je suis rentré a l appart a 16h32, presque des horaires de fonctionnaires; c est pour toi Michele..), j ai eu a mon tour une agréable surprise, une fenêtre ouverte sur le monde, enfin sur mSn et un petit message de Mat qui se préparait a quitter Lima ( sans mention de Yo qu il n a, j espère pas abandonné a un sombre troquet bolivien mais certes bon marché ) :

« bon un petit coucou de Lima tout va bien le site ne fonctionne pas ici comprend pas pkoi
Depart aujourd’hui de lima pour cusko la grande citée Inca  »

Alors voila, premiers pas, première escapade mais sans possibilité, pour l instant, de relais sur le site, va donc falloir qu on s y colle en attendant que nos chères et tendres le puissent…

Aller Au Boulot Ô Grand Administrateur immaculé dans la conception de structures binaires……

Un peu de nouvelles

En rentrant d’une soirée tarot hier, j’ai eu la bonne surprise de voir que Yohan était connécté sur Msn (5h du mat ici, 23h là-bas).

Donc ils vont bien, le voyage c’est bien passé, ils passent le w-e chez Arturo.

Ils ne peuvent pas accéder au site de là-bas, (pourtant de France aucun problème) donc je vais vite résoudre ce problème entre aujourd’hui et demain.

« 50 Centimes la pinte ! » : Je vois que tout commence bien pour eux =)

Je file, @bientôt.

mm’HiQue

Hey!

Ma petite semaine à Vic-sur-Cère se termine ( heureusement pour mon foi ). Demain je prend le train pour Paris ou je vais rejoindre Mathieu pour le grand départ =). La vallée est magnifique grâce aux couleurs d’automne, vous pouvez en avoir un aperçu sur la galerie photo. ciao

Vic